samedi 17 avril 2010 : Interview sur Magique étude du bonheur à la radio belge La Première
Françoise Simpère et Martine Asselin parle du film la grande amoureuse
Elle sont les invitée de Gabrielle Stephensky 7/09/2006
Le dimanche 07/09/2008 à 20h00 dans la pertinente émission radio “Bang Bang” sur Pure FM-RTBF(Radio Télévision Belge), Sophie et Polyphil se racontent, échange de point de vue sur ce mode de vie qu’ils tentent de vivre tout le long de leurs 20 années de vie commune.
Télécharger l’émission (Réservé aux membres, inscrivez vous)
Xavier Ess et Laurent Jadot proposent le magazine queer consacré aux cultures gay et lesbienne et aux sexualités minoritaires. Bang Bang nous parle de la culture holebi (homo/lesbien/bi) ; comment elle influence la culture dominante :
la mode-la consommation-la musique et comment elle agite la société belge à travers des sujets fondamentaux comme le couple, la parenté, la place des femmes, la tolérance, le communautarisme.
Christian polyartiste réagit à l’émission par une entrevue radio d’1h20 dans “Polyplaisir des utopies” Retrouver la poésie du corps en osant y mouiller l’encre
Podcast de l’émission entière “Bang-Bang” :
Vincent Cespedes, philosophe et écrivain, directeur de la collection
« Philosopher », a publié plusieurs essais sur des enjeux contemporains,
notamment : Mélangeons-nous. Enquête sur l’alchimie humaine (2006),
Mai 1968 − La philosophie est dans la rue ! (2008), J’aime donc je suis (2009).
« Tu disais alors que, lorsque nous étions ensemble,
tu étais toujours un peu grisée, comme si nous avions
bu du champagne. C’est cela justement que j’aime en
toi, que je puisse toujours te mettre en cette humeur de
champagne, où la vie nous picote aux doigts et où l’on
est prêt à n’importe quelle folie », écrit Rosa Luxemburg
à son amie Luise.
Malgré nos déclarations et nos déplorations, nous avons peur
du bonheur, cette « humeur de champagne » qui nous fait
prendre la vie comme une aventure passionnante. Subversif
par essence, il bouleverse notre rapport aux autres et nous
transforme sans cesse. Rien à voir avec les recettes d’opti-
misme que l’on nous vend et les quêtes désincarnées.
Le bonheur est une bonne « digestion » du monde et des
autres, qui entrent en nous et se mélangent voluptueuse-
ment avec notre mythologie intime, nos émotions, nos
profondeurs. Tout lui est « aliment », la peine comme
la joie. Le signe du bonheur est moins le sourire que la
bienveillance et la créativité.
Mais comment surmonter les peurs et les frustrations ? Si un
bon génie vous rendait visite, quel vœu lui demanderiez-vous
d’exaucer ?