Cette réflexion est très largement inspirée par : Jealousy and the Abyss by William Pennell Rock From the Journal of Humanistic Psychology, Vol. 23, No. 2, Spring 1983, 70-84.
Je clame haut et fort que le seul amour est l’amour libre, spontané et gratuit… on me répond que cet amour n’est possible que s’il s’inscrit dans la fidélité, sinon il génère davantage de souffrance que de bonheur. La jalousie et la culpabilité semblent alors être les principales souffrances symptomatiques de cet amour libre, spontané et gratuit… souffrance qui, malgré l’attrait du discours, viendrait rendre cet amour impossible et non « praticable ».